Les grands soirs
Belinda Cannone
Écrire pour habiter poétiquement le monde. S’émerveiller de la richesse de la langue, de la couleur des mots. Dans ses romans, comme dans ses essais, Belinda Cannone, explore les élans du corps et de l’esprit (L’écriture du désir, Prix de l’Essai de l’Académie française 2001), la transmission et l’empathie (Le don du passeur, Stock, 2013), le conformisme et la responsabilité intellectuelle (La bêtise s’améliore, Stock, 2007), le féminisme et la féminité (La Tentation de Pénélope, Stock, 2012). Face au nihilisme, elle offre des textes fédérateurs, sortes de miroirs enchantés sur l’état du monde et pointe les écueils à éviter, en adoptant la posture du poète, attentif, en alerte.
Discussion animée par Albert Dichy, directeur littéraire de l’Imec
Bar et restauration légère sur place