Le livre sous l'Occupation
11. L’interminable captivité de l’écrivain Georges Hyvernaud

Écrits d'oflag
Georges Hyvernaud, Voie de garage, écrit à l'oflag. Extrait du chapitre « Fosse commune » : « Mon lit : trois planches, une paillasse, des couvertures. Je ne m'en plains pas. On s'habitue bien vite au dénuement. La vraie misère ne vient pas des choses, mais des hommes. J'aurais du moins appris cela. »