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Matières premières

Le livre pendant l'Occupation

15. Une seule pensée, la liberté, par Paul Éluard

« le seul mot que j’avais en tête était le mot liberté »

En mai 1942, Paul Éluard a rencontré Max-Pol Fouchet, le directeur de Fontaine, et lui a remis ce poème : « J’ai écrit ce poème pendant l’été de 1941. En composant les premières strophes […], je pensais révéler pour conclure le nom de la femme que j’aimais [Nusch], à qui ce poème était destiné. Mais je me suis vite aperçu que le seul mot que j’avais en tête était le mot liberté. »

Crédit photographique : Michaël Quemener / Imec
Archives Max-Pol Fouchet / Imec