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Matières premières

Coupures surréalistes

5. À cœur perdu

Le quatrième chant

Manifeste rédigé par Jean Schuster faisant le constat de la dissolution du groupe surréaliste parisien, conséquence de conflits internes depuis la disparition d’André Breton et de la rupture des événements de mai-juin 1968. Non sans oppositions, notamment de la part de Jean-Louis Bédouin ou Vincent Bounoure, Jean Schuster revendique avec certains de ses amis (Philippe Audoin, Claude Courtot, Gérard Legrand, José Pierre, Jean-Claude Silbermann) la persistance de l'esprit surréaliste en se passant d’un nom devenu sujet à malentendus : entre 1969 et 1972, il va s'incarner dans les sept livraisons de la revue Coupure.

Jean Schuster, Le 4ème chant. En forme de Manifeste, 1969,
Archives Jean Schuster / Imec